L’exposition « (Dé) Chaîné »

L’opus d’Aleksandra (Dé)Chaîné a été créé dans le processus d’exploration de l’espace positif et négatif. L’arrière-plan de chaque œuvre est le tableau lui-même, expressif et non contraint par l’idée de résultat final. C’est un reflet de la vie intime, un feu d’artifice d’émotions, de rêves et de couleurs. L’expression du tableau apparaît dans un processus inversé, en prenant soigneusement en compte ce que nous sommes par rapport à ce que nous représentons pour le public. Les surfaces extraites de l’arrière-plan composent la forme du tableau. L’arrière-plan est limité de la même manière que l’on limite les comportements et les réactions socialement inacceptables. Au final, l’espace positif et négatif de ses œuvres s’entrelacent, s’affectent et coexistent dans un ensemble esthétiquement abouti.

Aleksandra Mirić
Architecte-conservateur. Elle a étudié la valorisation du patrimoine architectural à l’Université de Provence. Elle a fini son doctorat en architecture à l’Université de Nis et son doctorat en archéologie à l’Université de Lyon 2. Sa thèse promulguée par l’Institut d’architecture et d’urbanisme de la Serbie IAUS a été proclamée pour la meilleure thèse défendue pendant l’année scolaire 2015-16 et l’Institut de recherche en architecture antique de France a choisi à l’unanimité Aleksandra Mirić comme un chercheur associé. À titre d’ambassadeur de l’Association des capitales européennes de la culture pour l’Europe du Sud et l’associé de recherche indépendant, est dédié à l’étude, à la présentation et à la promotion du patrimoine culturel mondial et aux traditions locales. La Chambre de la jeunesse internationale de JCI lui a décerné le premier prix pour des contributions exceptionnelles au développement de la culture en 2017.

Aleksandra s’est présenté au public avec ses expositions en solo à Ćuprija (2018), Niš (2010, 2015, 2018), Paris (2017) et Skopje (2017), elle a également participé à des dizaines d’expositions de groupe et des colonies de beaux-arts internationaux. Ses peintures se retrouvent déjà dans des collections privées et publiques dans le pays et à l’étranger. Au concours d’art dédiée au surréalisme en Serbie, « En l’honneur de Matić », qui est organisé par le musée Horreum Margi de Ćuprija, sa peinture les « Saints qui marchent » a remporté le premier prix en 2017.