La fabrique de la culture #3

La culture, un atout pour le développement durable des métropoles.
L’expérience de Lyon.

En français, traduction simultanée en serbe

Invitée : Pascale Bonniel Chalier, enseignante à l’ Université Lumière Lyon 2 / Institut de la communication, pour le Master2 « Développement de projets artistiques et culturels internationaux ».

Le cycle Fabrique de la culture est conduit par Jean-Baptiste Cuzin, directeur de l’Institut français de Serbie.

Entrée libre / Traduction simultanée

Ce troisième débat du cycle #fabriquedelaculture permettra un échange sur la contribution de la culture à l’inclusion sociale et à la mise en œuvre d’un modèle durable de développement urbain. L’expérience de Lyon sera présentée au regard également des engagements portés par les métropoles, en Europe et sur les autres continents, pour la mise en œuvre d’Agenda21 pour la culture, en lien avec le réseau des Cité et Gouvernements locaux unis | United cities and local governments (UCGL).

Cycle Fabrique de la culture

Les arts, la culture, les industries culturelles et créatives sont aujourd’hui des enjeux centraux pour accompagner l’évolution de nos sociétés, penser la cohésion sociale, agir pour plus de cohésion territoriale. L’indépendance des arts est indispensable et, pour autant, la promotion de la diversité culturelle et linguistique passe également par des politiques publiques de la culture. Les professionnels de la culture français et serbes entretiennent une longue tradition de coopération et nombreux sont les artistes, gestionnaires culturels, professionnels des politiques culturelles en Serbie qui ont eu une expérience en France.

L’Institut français de Serbie avec la « Fabrique de la culture : dialogues franco-serbes sur les arts et les politiques culturelles » propose des rencontres régulières avec des artistes et professionnels de la culture, serbes ou français, intervenant seuls ou dialoguant, catalyseurs pour des échanges renouvelés sur nos pratiques culturelles.

Elles sont ouvertes à toutes et à tous et devraient intéresser au premier chef les professionnels de la culture, artistes, gestionnaires, acteurs culturels indépendants, étudiants en art ou gestion culturelle, acteurs des politiques culturelles…